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01/10/2018

Je t'ai retrouvé

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15:52 Écrit par arsobispo | Lien permanent | Commentaires (0)

13/11/2016

J'ai vaincu Sésame

et retrouvé, tant de temps plus tard... une lettre et une carte postale.

Seront-elles mieux protégées ici

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16:38 Écrit par arsobispo | Lien permanent | Commentaires (0)

16/08/2016

Un doute m'assaille

Nouvelle recherche afin de savoir si par un extraordinaire hasard, une information aurait pu s'introduire sur le net. Et là, stupeur, une référence à New-York... Les Labos l'auraient-ils muté ? Et si cela est, quel intérêt à la chercher stupidement dans les rues de Castres, dévisager les conductrices des voitures sur la route entre Castres et Lautrec ! Risquer même de s'approcher de cette grande bâtisse isolée et se faire rudoyer par des inconnus. Car qui me dit qu'elle réside toujours là ?

Le seul fait tangible de son existence actuelle s'évanouit !

16:40 Écrit par arsobispo | Lien permanent | Commentaires (0)

05/06/2015

Google me désespère.

Je me rends compte que près de nombreux mois se sont écoulés depuis la précédente note.

je me rends compte qu'il est inutile et vain de rabâcher sans cesse les mêmes pensées, les mêmes rêves, les mêmes espoirs. Mais je ne peux m'en empécher.

je me rends compte que mes recherches des moindres indices de ton existence sont de plus en plus vaines.

Rien ne change, si ce n'est mes obsessions de plus en plus noires.

C'est comme si tu n'existais plus.

Ta page FB reste désespérément muette. Tu ne fais plus partie de l'équipe municipale de Brousse. Google me désespère.

 

16:42 Écrit par arsobispo dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)

29/02/2012

Rare

Son anniversaire,

Je lui envoie ce mot. Le recevra-t-elle ? Le comprendra-t-elle ?

 

Frémissante date

Indécision du mitan d’un hiver oscillant du froid rugueux à la douceur d’un soleil cajoleur ; aurore encore timide de ce printemps tant attendu.

Insolite date

Rompant l’immuable ordre du fil des jours, sa soudaine rencontre fait tituber le temps

date bissextile

A l’évidence associée au couple, dans une temporalité bien fragile et insolite

Ecueil dans le cours des choses

Ou oasis dans le désert d’une vie ?

Date d’ajustement

à l’inflexibilité mathématique, arasant nos indicibles émotions

Date rare

Dont l’attente décuplée affermit l’espoir. Sa singularité appelle le désir, inaccoutumée, elle devient précieuse.

19:19 Écrit par arsobispo dans Elle | Lien permanent | Commentaires (0)

16/10/2010

Défi

Elle se montre si naturelle et si franche.
Le vieil homme que je suis aujourd'hui éprouve à son souvenir le besoin d'être à nouveau en accord avec lui-même.
L'un comme l'autre, l'homme et cet être caché, voient clair l'un dans l'autre. Refuge au sein des bourrasques du temps, l'inflexibilité de la passion est un roc qui défie le temps.

11:21 Écrit par arsobispo dans Elle | Lien permanent | Commentaires (0)

13/10/2010

L'heure Jeanne

Entre 3 et 4 heures du matin. Rarement plus tard mais la majorité de mes nuits... Je sais lorsque cela va m'arriver ; au moment précis ou je me rends compte que ce que je vis n'est qu'un rêve. J'arrive encore quelques instants à le prolonger comme pour te faire un adieu - une fois de plus- puis j'émerge à la réalité de la chambre sombre. Je me rendors peut-être mais j'en doute. Je saisi qu'après t'avoir quittée, le regret me pose soucis, que je vais tourner et tourner dans mes draps à défaut de le faire dans tes bras.

Alors je me lève pour me changer les idées, pendant quelques heures. Sachant bien que cette heure de la nuit est l'inflexible rappel d'une vie gachée

05:18 Écrit par arsobispo dans Mes rêves | Lien permanent | Commentaires (0)

08/04/2010

Bonne appétit

je suis en train de déjeuner avec des collègues. Je crois reconnaître la cantine de la rue Thérèse, la salle du deuxième étage. Sauf que la table est un immense bar, qui se prolonge sur une assez grande longueur puis tourne sur lui-même pour revenir le long de nos places, à quelque distance, formant un passage ou circulent les serveurs. Comme d'habitude, beaucoup de bruits de mouvements. Les gens se lèvent, s'assoient, discutent, vont chercher qui de l'eau, qui du sel, leurs manteaux avant de quitter les lieux. Mais je ne me rends compte de rien. Je viens de te voir assise presque en face de moi, de l'autre côté du comptoir. Tu es avec quelques amis, des collègues sans doute. D'ailleurs moi aussi, je suis accompagné. Mais je ne sais pas de qui il s'agit. Je ne les connais pas bien que je discutais, détendu et serein avec eux avant que je ne t'aperçoive. Ils n'ont pas d'importance. plus d'intérêt. Tu accapares toute mon attention. Mon coeur s'est mis à battre plus violemment. Je le sens qui cogne dans ma poitrine? Je crois même l'entendre malgré le vacarme ambiant. J'essaye de me calmer et je baisse les yeux sur mon assiette. Mais je ne peux m'empêcher de les poser à nouveau sur toi. Je veux graver dans mes pupilles ton visage. Puis, j'ai brusquement peur que tu t'aperçoives de ce regard insistant, qu’alors tu me reconnaisses et que tu prenne conscience que ce regard cherche à pénétrer bien au-delà de tes pupilles. Et bien qu’il soit aimant, qu'il t’apparaisse comme une menace, et qui te pèse tant que d’un geste méprisant, tu me fasses comprendre que le rêve est fini…

Je suis en sueur mais la chambre est fraîche. Je me lève dans l’ombre et le silence. Je sais que je ne me rendormirais pas.

06:29 Écrit par arsobispo | Lien permanent | Commentaires (0)

18/01/2010

Cette photo, toujours sur mon bureau

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Je vais bientôt quitter ce bureau qui aura tant consumé ma vie.
Que vais-je faire de cette photo qui m'a tant accompagnée ?
Que vais-je faire surtout de la carte puzzle qui l'accompagnait

 

16:19 Écrit par arsobispo dans Correspondances | Lien permanent | Commentaires (0)

12/01/2010

Mon âme de compagnie

Toujours présente. A mes côtés. Sans cesse. Et lorsque je l'oublie, elle sait si bien me rappeler d'avoir une pensée pour elle. Le temps passe... elle m'accompagne toujours. Mes cheveux grisonnent. Elle sourie, amusée par l'exemple d'inalteabilité qu'elle m'offre. Elle accompagne mes quotidiens, mes nuits, mes rêves, mes espoirs, toujours égale à elle-même. Avec une intemporalité qui me soutient lorsque l'espoir de la vie s'altère.

je t'aime. Encore et toujours.

10:52 Écrit par arsobispo dans Espoirs | Lien permanent | Commentaires (0)